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30 janv. 2016

Gueule cassée chez Fonscolombe!


 Sympetrum fonscolombii

Quelques images de ce grand voyageur prises en Espagne principalement mais aussi au bord de mon étang.
Les femelles étant plus difficiles à trouver - ne me demandez pas pourquoi! - je passe la seule en premier, bien émiettée:




J'ai souvent trouvé ces "gueules cassées" en Espagne:





Noushka

29 janv. 2016

Cordulegaster diastatops male, Cordulégastre aux yeux séparés, Delta-spotted Spiketail, Cordulegastridae

Alors celui-là vraiment pas sûr de son nom. J'ai plusieurs sites pour l'identifier mais pas un qui pourrait me permettre de dire avec certitude le nom de l'animal…mais il est joli.
15 juin 2014 vers 15h alentour de la mare.




 Crouche-crouche !


La suite une autre fois.

26 janv. 2016

Cordulie aussi...

Cordulia aenea
Downy Emerald

Pour rester sur le chapitre des émergences, voici donc la belle bronzée,
Cordulia aenea. Je l'ai peu vue à cette période de son développement
l'an passé : il est difficile d'être toujours au bon endroit
au bon moment... Mais c'est toujours un plaisir que de la croiser
en pleine transformation, aussi bien pour la beauté de l'insecte,
que pour le fait que, comme sa cousine E. bimaculata, elle est difficile
à découvrir posée une fois adulte, étant pourtant très présente, 
voire envahissante en survolant les plans d'eau...
Voici quelques spécimens déjà bien avancés dans leur "éclosion",
avec aussi, comme souvent, leur lot de malformations.
Images du 29 avril au 5 mai 2015.

Et je vous joint ici ce lien pour accéder un site intéressant, 
où l'on voit qu'équiper une libellule d'une balise émettrice,
c'est possible ! 














Morikan



21 janv. 2016

Taches non solubles...

Epitheca bimaculata
Eurasian Baskettail


Nous étions dans la première quinzaine de mai, et la météo

n'était pas toujours au beau fixe, comme en témoignent les gouttes d'eau
visibles sur certains clichés. Ce qui n'empêchait nullement Epitheca bimaculata 
d'émerger, mais en traînant parfois en longueur, certains processus commencés 
à la mi-journée ne s'achevant que le lendemain, avec aussi plusieurs 
malformations (dues au mauvais temps ?) comme sur les deux derniers clichés.
C'était néanmoins le moment de profiter de cette rare libellule
(espèce protégée) : en quatre saisons, je n'ai rencontré qu'un seul adulte, 
ceci étant probablement dû à sa courte vie et sa discrétion.














Morikan


18 janv. 2016

Mme O.Réticulé

Orthétrum cancellatum

Dans la série vielles dames et Orthétrum,  voici une Orthétrum cancellatum, O. réticulé qui a bien vécu et rempli son devoir et elle a bien raison de prendre un peu de repos et se faire dorer au soleil.

C'est la même sur toutes les photos prisent sous des angles et lumières différents.

Les photos sont du 21-8-2015 à la carrière vers 16h30











Laurence

17 janv. 2016

Un peu de bleu nous fera du bien...

Orthetrum coerulescens
Keeled Skimmer


Vous, je ne sais pas, mais ici en Touraine les derniers huit jours
ont été très humides, venteux, de plus en plus froid, bref :
un temps de saison ! Il y avait longtemps ! Le bon côté*, c'est que les mares,
étangs et autres zones humides ont refait le plein, reste à voir
ce qui en restera au moment des émergences, dans 2 mois et demi, eh eh  !
Donc voici du bleu, avec ces Orthetrum coerulescens
capturés dans la première quinzaine de juillet 2015.
Que des mâles, désolé, une fois de plus, pour la parité...
Vous noterez les ailes floues sur le deuxième cliché : tout simplement
le sujet s'envolait : vitesse 1/1000e de seconde, le corps est encore
immobile mais les ailes frémissent déjà... 

*Dois-je rappeler que "les chasseurs nous présentent plein de bons côtés" ?










Morikan


14 janv. 2016

Gomphidae

Pour participer  à la "grande gomphiserie" de Morikan ;-), voici ceux que j'ai rencontrés au cours de l'été 2015 et qui n'ont pas encore été publiés.

Commençons par Onychogomphus forcipatus qui se distingue de O. uncatus par la petite "barrette" jaune située entre les 2 yeux, juste au-dessus du front et les 3 cellules du triangle anal de l'aile postérieure, bien visibles sur la première photo. Les marques thoraciques sont elles aussi bien distinctes entre ces 2 espèces d'apparence assez similaire, ainsi que les appendices anaux des mâles (Ref: Dijkstra).
O. forcipatus est apparemment plus commun généralement mais chez moi, je vois plutôt O. uncatus.
J'ai donc bien profité de ces individus qui m'ont laissé danser autour d'eux mi-juillet!

 









Voici Onychogomphus uncatus, plus courant donc dans ma région, ou bien est-ce ma veine personnelle qui me permet de "tomber" dessus assez souvent? !! 
J'ai toujours noté que les yeux sont plus bleutés mais ce ne serait pas un critère fiable d'après les experts.




Les premiers à apparaître dans la saison ce sont les Gomphes à pattes noires et lorsqu'on est en veine, on peut approcher certains individus quoique je trouve plus farouche que les Gomphes gentils.

Gomphus vulgatissimus

Femelle


Le Gomphe gentil est le plus verdâtre d'apparence et nous met d'office sur la voie de son identification avant de détailler les marques de son thorax. Très courant chez moi, il est parmi les premiers gomphes à émerger:

Gomphus pulchellus


Noushka